Vous vous adressez à moi parce que vous avez mal, vous souffrez au point que ce ne soit plus supportable.
Peut-être même en avez-vous marre de prendre des antalgiques, des calmants, ou que vos traitements ne fassent pas d’effet.
A moins que vous refusiez simplement la médecine traditionnelle et que vous préfériez vous tourner vers un soin alternatif.
Vous vous êtes peut-être dit que ça passerait tout seul, « avec le temps, va, tout s’en va… » : mais, il faut bien se l’avouer, c’est toujours là.
Pour que je puisse vous aider à surmonter cette (ces) douleurs(s), j’ai besoin de votre souhait, de votre volonté, de votre acquiescement, de votre demande.
Aides-toi, le Ciel t’aidera
Je ne me prends pas pour le Ciel (Dieu merci !) mais disons que j’ai quelques accointances : j’ai quelques entrées auprès de ses ambassadeurs. Je les appelle mes guides spirituels.
Et ils sont assez tatillons : ils ont des principes !
Notamment, ils respectent le libre arbitre de chacun.
De quoi s’agit-il ?
Le libre arbitre est le droit à chacun de choisir ce qu’il souhaite pour lui-même.
Ainsi, si la personne est franchement opposée à ce type de soin, ou si elle n’a pas connaissance de mes actes à son égard, je m’oppose à pratiquer sur elle. J’ai besoin d’une volonté, d’un accord, d’un souhait, d’une démarche personnelle. Certes, elle peut éventuellement être relayée par un proche, ou concerner un enfant de moins de 7 ans.
Mais, chez moi, seule une demande associée à mes canalisations peuvent agir au sein des corps et des cellules.
Nous faisons ainsi une co-création du soin : moi, par l’énergie transmise, et vous, par l’action de vos cellules agissant sous l’impulsion de cette énergie.