A la différence du reïki qui se sert de symboles, ou d’autres techniques, je capte cette énergie directement de mes guides spirituels.
Je n’utilise pas de cérémonial non plus : pas de musique, d’atmosphère zen, de lourdes tentures, de bougies, d’encens… Aucun mystère. Ma pratique est des plus simples. Elle est issue d’un don qui a mis longtemps à me parvenir.
Du haut de mes cinquante et quelques années, j’accueille ce don simplement, en toute humilité, respect et toute transparence. Mes guides me font confiance car ils savent que je ne trahis pas leur action. Le soin dure le temps qu’ils jugent nécessaire.
Ils détectent quand j’ai besoin de leur aide : il m’arrive parfois de leur préciser l’objet de mes soins, la demande effectuée par la personne qui me sollicite. Mais en général, ils ne s’y limitent pas et peuvent intervenir sur des maux non conscientisés au cours de la séance.
Dans ce cas, au rendez-vous suivant, la personne peut me confier qu’elle ne souffre plus de telle douleur, alors qu’elle ne m’en avait pas parlé !